Le Club VIE du Japon présenté par son président Frédéric Benoliel

Le club VIE du Japon, travailler à Tokyo

Le club VIE est le réseau officiel des anciens VSN, CSN et VIE/A. A Tokyo, le club VIE Japon est présidé et animé par Frédéric Benoliel que l’équipe de Vivre à Tokyo a rencontré pour en savoir plus.  Coline Certain, actuellement en VIE,  a également accepté de participer à cet entretien et de nous livrer son expérience.

Le Club VIE et ses valeurs

Professionnel, Communautaire, et Solidaire, voici les trois valeurs qui caractérisent le club VIE.

« C’est une association ouverte pour mettre en relation les anciens et les nouveaux VIE, mais aussi ceux qui sont en recherche d’emploi ou de VIE, et les professionnels », nous explique Coline.

A Tokyo,  des évènements sont ainsi organisés régulièrement : conférences et soirée « Afterwork ». Les conférences sont l’occasion d’aborder des problématiques professionnelles dans le contexte particulier du Japon. Les soirées Afterwork ont, elles, vocation à faciliter les rencontres. Aujourd’hui, 190 VIE sont en poste au Japon.

Le réseau est un véritable réseau international qui contribue à la croissance des échanges internationaux entre les professionnels de tous les secteurs : « C’est la force du club VIE ».

L’agenda est disponible sur le site des évènements des club VIE. N’hésitez pas à vous inscrire, les évènements sont ouverts à tous.

Trouver un VIE

A la question, comment faut il s’y prendre pour trouver un VIE au Japon, Frédéric répond du tac au tac : « Il n’y a pas de recette miracle pour trouver du travail, il faut savoir ce qu’on peut apporter à une entreprise, pas uniquement attendre une proposition. » Il conseille donc au candidat VIE de bien préparer son CV et d’avoir une idée de son projet avant de contacter les entreprises ciblées.

Et à propos du japonais ?  Parler le japonais n’est pas systématiquement une condition nécessaire mais se montrer intéressé par son apprentissage sera un minima.

« Globalement les entreprises pensent qu’il faut que les candidats parlent japonais. Éduquer les entreprises à choisir un bon potentiel qui sera capable d’apprendre la langue s’ il est vraiment motivé c’est une de mes missions » indiquent Frédéric qui est souvent contacté par les entreprises.

Et pour la suite ? Un VIE est souvent un tremplin pour la vie professionnelle du candidat. Environ la moitié des VIE reste au Japon après leur expérience !

A lire également : Travailler à Tokyo quand on est jeune : le VIE ou VIA

Les bonnes adresses de Frédéric et Coline

Côté restaurant, c’est Frédéric qui partage ses coup de coeur :

Le restaurant Nobu à Toranomon : une cuisine ouverte sur l’extérieur conservant le côté japonais traditionnel (compter 7000 à 8000 yens pour le dîner)

La Tofuya Ukai au pied de  la Tokyo Tower : un restaurant dont la spécialité est le Tofu et qui vous accueille dans un cadre exceptionnel

– Le restaurant de soba Kurozawa, du nom du réalisateur éponyme

Coline quant-à-elle nous indique un quartier qu’elle apprécie particulièrement :  Shibamata, encore peu touristique, avec de vieilles maisons traditionnelles, un très beau temple doté d’un joli jardin japonais.

Un dernier conseil

Coline et Frédéric sont unanimes :  » Tout VIE qui arrive à Tokyo a intérêt à rejoindre le Club ! « 

Une question ? n’hésitez pas à écrire à l’adresse : contact@clubvie.fr

HM

1 Commentaire
  • nathan

    Bonjour merci pour votre article. J’ai une question un peu plus précise, j’espère que vous allez pouvoir m’aider. J’ai bien compris que le salaire d’un VIE est net d’impot, mais qu’en est-il de 国民年金国民 , 健康保険 et de 住民税. Doit ont continuer a les payer? je suis actuellement en contract local et si je passe sur un VIE comment cela se passe t’il? je ne trouve pas d’infos sur internet..

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